
Edition : Le livre de poche
Nombre de page : 506 pages
Paru en : 2010
Prix : 7.60 euros
Résumé :
Paul Edgecombe, ancien gardien-chef d'un pénitencier dans les années 30, entreprend d'écrire ses mémoires. Il revient sur l'affaire John Caffey - ce grand Noir au regard absent, comdamné à mort pour le viol et le meurtre de deux fillettes - qui défraya la chronique en 1932.
La ligne verte est le reflet d'un univers étouffant et brutal, où la défiance est la règle. Personne ne sort indemne de ce bâtiment coupé du monde, où cohabitent une étrange souris apprivoisé par un Cajun pyromane, le sadique Percy Wetmore avec sa matraque et Caffey, prisonnier sans problème. Assez rapidement convaincu de l'innocence de cet homme doté de pouvoirs surnaturels, Paul fera tout pour le sauver de la chaise électrique.
La ligne verte est le reflet d'un univers étouffant et brutal, où la défiance est la règle. Personne ne sort indemne de ce bâtiment coupé du monde, où cohabitent une étrange souris apprivoisé par un Cajun pyromane, le sadique Percy Wetmore avec sa matraque et Caffey, prisonnier sans problème. Assez rapidement convaincu de l'innocence de cet homme doté de pouvoirs surnaturels, Paul fera tout pour le sauver de la chaise électrique.

Cette atmosphère carcérale où règne la mort m'a toujours rebuté. Je suis une âme sensible, malgré mes airs méchants et j'ai tardé à lire ce livre qui était dans ma PAL depuis déjà presque un an et demi.
L'entrée dans l'histoire : elle s'est faite en douceur si je puis dire, malgré le sujet du roman. Je me suis retrouvé dans les années 1932, où règne la grande dépression, les idées raciales et la pauvreté. J'ai beaucoup aimé le fait que ce soit une espèce d'autobiographie, un roman-feuilleton comme S. King a voulu faire. Une mise en abyme plutôt réussi. En effet c'est le « Boss Edgecombe » qui raconte l'histoire de son métier. On le suit dans son histoire avec ses amis, gardien du bloc E.
Les personnages : adorables. En effet, que ce soit les condamnés où les gardiens, tous ont une âme qui m'a plu. L'auteur a eu l'idée de décrire chaque personnage, même pour des détails insignifiants, dans le but je pense, de nous y attacher. Les condamnés ont conscience de ce qu'ils ont fait et leur façon de vivre leurs derniers jours m'a attendris au plus haut point. C'est là que je comprends que je n'aurai jamais pu travailler dans ce genre de domaine !
Bien sur, des personnages antipathiques ont fait surface tout au long du roman, des personnages, tel Percy Wetmore, que j'ai eu envie d'étrangler du début à la fin ! La haine qu'il avait envers un condamné ma exaspérée, et ce qu'il a fait à ce dernier m'a choquée, outrée.
La petite souris si célèbre, que je connaissais avant même de lire le livre, a donné une touche de fantastique, un peu de douceur dans ce milieu où règnent la violence et la tristesse.
John Caffey est attendrissant, on se demande du début à la fin ce qu'il fait là, ce n'est pas normal. Son talent le rend encore plus incroyable et il fait encore plus tache dans se décors morbides.
Le final : malgré tout ce que je savais déjà de par la bouche des gens l'ayant lu ou vu, je ne m'attendais pas à cette fin, à cette découverte ! L'auteur a su, je ne sais comment, à garder ce gros mystère que je n'ai même pas vu venir ! J'ai eu une peine immense pour notre pauvre John Caffey, victime, malheureusement, de sa couleur de peau.
Pour conclure : L'histoire est merveilleusement bien écrite, la plume de King est splendide. Ce livre a été une partie de plaisir, malgré le lieu dans lequel cela se passe et la malchance, au final de certains personnages.
L'entrée dans l'histoire : elle s'est faite en douceur si je puis dire, malgré le sujet du roman. Je me suis retrouvé dans les années 1932, où règne la grande dépression, les idées raciales et la pauvreté. J'ai beaucoup aimé le fait que ce soit une espèce d'autobiographie, un roman-feuilleton comme S. King a voulu faire. Une mise en abyme plutôt réussi. En effet c'est le « Boss Edgecombe » qui raconte l'histoire de son métier. On le suit dans son histoire avec ses amis, gardien du bloc E.
Les personnages : adorables. En effet, que ce soit les condamnés où les gardiens, tous ont une âme qui m'a plu. L'auteur a eu l'idée de décrire chaque personnage, même pour des détails insignifiants, dans le but je pense, de nous y attacher. Les condamnés ont conscience de ce qu'ils ont fait et leur façon de vivre leurs derniers jours m'a attendris au plus haut point. C'est là que je comprends que je n'aurai jamais pu travailler dans ce genre de domaine !
Bien sur, des personnages antipathiques ont fait surface tout au long du roman, des personnages, tel Percy Wetmore, que j'ai eu envie d'étrangler du début à la fin ! La haine qu'il avait envers un condamné ma exaspérée, et ce qu'il a fait à ce dernier m'a choquée, outrée.
La petite souris si célèbre, que je connaissais avant même de lire le livre, a donné une touche de fantastique, un peu de douceur dans ce milieu où règnent la violence et la tristesse.
John Caffey est attendrissant, on se demande du début à la fin ce qu'il fait là, ce n'est pas normal. Son talent le rend encore plus incroyable et il fait encore plus tache dans se décors morbides.
Le final : malgré tout ce que je savais déjà de par la bouche des gens l'ayant lu ou vu, je ne m'attendais pas à cette fin, à cette découverte ! L'auteur a su, je ne sais comment, à garder ce gros mystère que je n'ai même pas vu venir ! J'ai eu une peine immense pour notre pauvre John Caffey, victime, malheureusement, de sa couleur de peau.
Pour conclure : L'histoire est merveilleusement bien écrite, la plume de King est splendide. Ce livre a été une partie de plaisir, malgré le lieu dans lequel cela se passe et la malchance, au final de certains personnages.
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