
Edition : Les arènes
Nombre de page : 225 pages
Paru en : 2011
Résumé : Le jour des deux ans de Thaïs, Anne-Dauphine Julliand apprend que sa fille est atteinte d'un mal incurable. Son récit bouleversant raconte le combat d'une famille et de son entourage, émouvant réseau solidaire, tous unis pour une cause magnifique: rendre les courtes années de Thaïs aussi belles que possible.
Nombre de page : 225 pages
Paru en : 2011
Résumé : Le jour des deux ans de Thaïs, Anne-Dauphine Julliand apprend que sa fille est atteinte d'un mal incurable. Son récit bouleversant raconte le combat d'une famille et de son entourage, émouvant réseau solidaire, tous unis pour une cause magnifique: rendre les courtes années de Thaïs aussi belles que possible.

Deux petits pas sur le sable mouillé, récit poignant à souhait, qui prend aux tripes et qui s'insinue dans les profondeurs de notre corps, de nos tripes, de telle sorte que l'ont ressort tourmenté, dépossédé de notre âme mais bourré de douceur et de compassion, d'amour et de compréhension.
Nous nous retrouvons au sein d'une famille comblée, parents de deux enfants, garçon et fille, Gaspard et Thaïs, où un séjour à la plage va tout faire basculer, où les parents vont être dépossédés ; ils apprennent la maladie incurable que leur fille à eue à la naissance, et qui la conduira irréversiblement à la mort.
Ainsi, nous savons déjà le triste dénouement du livre, mais le plus touchant et le but de ce livre et de les suivre dans ce quotidien difficile, de les comprendre et, au final, de les aider, de les soutenir.
En plus de la connaissance d'une maladie que je ne connaissais pas, et que j'ai aimé connaître, car, au final, nous ne savons pas grand-chose des maladies comme celle-ci, j'ai aimé partager les moments heureux et triste de cette maman qui vivra dans un stress incroyable et qui va devoir assigner sa vie à son nouveau destin.
On assiste à la naissance de sa nouvelle petite fille, à ses réflexions, à ses situations compliquées, à ses moments de douceur que chaque maman partage avec ses enfants.
J'ai énormément adoré son petit garçon Gaspard, qui, malgré son jeune âge, comprend vite les choses ; j'aurais aimé savoir s'il était toujours aussi compréhensif maintenant qu'au moment où elle écrit ses lignes.
Il ne s'agit pas d'une simple histoire où Anne-Dauphine Julliand retrace sa vie pour qu'elle soit plainte et admirer, elle essaie au final d'aider ses familles qui sont comme la sienne. C'est une histoire qui touche, car, même si je ne peux pas être aussi touché que les mamans ayant lu ce roman, n'importe qui possède un c½ur, aura du mal à lire certaines de ces lignes, qui bouleversent mais qui apprend à vivre, qui nous donne une leçon de vie. La morale de ce roman m'a fait réfléchir ; nous vivons trop souvent dans notre monde étriqué dans le luxe et le matérialisme, sans se préoccuper des choses simples que nous avons déjà pour acquis, comme marché, voir, parler, entendre... aimer.
J'ai toujours été attirer par les récits autobiographiques, rien de mieux pour voir des vérités là ou on ne peut en trouver.
J'ai souvent entendu, au fil de ma jeunesse, entendu des personnes me dire « Me dit pas ce que je dois faire ou pas, ce n'est pas à X ou Y années que tu vas m'apprendre à vivre... » Et bien je dois dire qu'après cette lecture, ce n'est pas l'âge qui fait qu'on comprend la vit ou pas, mais l'expérience de ce que l'on vie chaque jour, ce que l'on rate, de ce que l'on découvre et des gens que l'on rencontre.
Je relâche ce livre plus que bouleversé et regardant ce qui m'entoure d'un autre ½il. La vie est si courte qu'elle ne vaut pas la peine de se prendre la tête pour des choses tellement banales et de profiter au maximum de ce qu'on possède déjà et des gens qui sont près de nous.
Nous nous retrouvons au sein d'une famille comblée, parents de deux enfants, garçon et fille, Gaspard et Thaïs, où un séjour à la plage va tout faire basculer, où les parents vont être dépossédés ; ils apprennent la maladie incurable que leur fille à eue à la naissance, et qui la conduira irréversiblement à la mort.
Ainsi, nous savons déjà le triste dénouement du livre, mais le plus touchant et le but de ce livre et de les suivre dans ce quotidien difficile, de les comprendre et, au final, de les aider, de les soutenir.
En plus de la connaissance d'une maladie que je ne connaissais pas, et que j'ai aimé connaître, car, au final, nous ne savons pas grand-chose des maladies comme celle-ci, j'ai aimé partager les moments heureux et triste de cette maman qui vivra dans un stress incroyable et qui va devoir assigner sa vie à son nouveau destin.
On assiste à la naissance de sa nouvelle petite fille, à ses réflexions, à ses situations compliquées, à ses moments de douceur que chaque maman partage avec ses enfants.
J'ai énormément adoré son petit garçon Gaspard, qui, malgré son jeune âge, comprend vite les choses ; j'aurais aimé savoir s'il était toujours aussi compréhensif maintenant qu'au moment où elle écrit ses lignes.
Il ne s'agit pas d'une simple histoire où Anne-Dauphine Julliand retrace sa vie pour qu'elle soit plainte et admirer, elle essaie au final d'aider ses familles qui sont comme la sienne. C'est une histoire qui touche, car, même si je ne peux pas être aussi touché que les mamans ayant lu ce roman, n'importe qui possède un c½ur, aura du mal à lire certaines de ces lignes, qui bouleversent mais qui apprend à vivre, qui nous donne une leçon de vie. La morale de ce roman m'a fait réfléchir ; nous vivons trop souvent dans notre monde étriqué dans le luxe et le matérialisme, sans se préoccuper des choses simples que nous avons déjà pour acquis, comme marché, voir, parler, entendre... aimer.
J'ai toujours été attirer par les récits autobiographiques, rien de mieux pour voir des vérités là ou on ne peut en trouver.
J'ai souvent entendu, au fil de ma jeunesse, entendu des personnes me dire « Me dit pas ce que je dois faire ou pas, ce n'est pas à X ou Y années que tu vas m'apprendre à vivre... » Et bien je dois dire qu'après cette lecture, ce n'est pas l'âge qui fait qu'on comprend la vit ou pas, mais l'expérience de ce que l'on vie chaque jour, ce que l'on rate, de ce que l'on découvre et des gens que l'on rencontre.
Je relâche ce livre plus que bouleversé et regardant ce qui m'entoure d'un autre ½il. La vie est si courte qu'elle ne vaut pas la peine de se prendre la tête pour des choses tellement banales et de profiter au maximum de ce qu'on possède déjà et des gens qui sont près de nous.
