
Nombre de page : 282 pages
Paru en : 2005
Résumé : Je m'appelle Yalda. J'ai dix-sept ans et je suis afghane. Quand j'avais cinq ans, nous avons fui la guerre pour nous réfugier à Islamabad, au Pakistan, où j'ai vécu dans la poussière. À la télé, j'ai vu mon pays sombrer dans l'obscurantisme, les femmes réduites à néant par les talibans. Lorsqu'on m'a proposé de poursuivre mes études à Paris, j'ai pensé : c'est la chance de ma vie. Ma famille a dit oui. Je n'ai encore jamais pris l'avion, je n'ai encore jamais vu de femmes sans voile ailleurs qu'à la maison. Chez moi, à mon âge, une fille est mariée, souvent sans son consentement. Hier soir, avant mon départ, on m'a offert un cahier avec sur la couverture une montagne enneigée. Pour y écrire ce que j'ai sur le c½ur.

Je peux par avance dire que la couverture de ce livre est neutre, la photo de l'auteur nous permet d'apprendre à la connaître avant même de lire ses écrits, je trouve ça plutôt bien.
Concernant la mise en page du roman, celle-ci, étant un journal intime avant tout, journal que Yalda avait reçu de sa famille, la mise en page m'a plu, car j'ai toujours aimé les journaux intimes, même si moi-même je n'en ai jamais eu. Après tout, je n'ai jamais eu une vie aussi trépidante que notre petite Yalda !
Yalda est une jeune Afghane qui vit à Islamabad et qui,, suite aux nombreux problèmes de son pays, a eu la chance, grâce à sa mère est sa tante, Chekeba, de partir faire des études à Paris afin d'échapper au destin des femmes de son pays.
Nous suivons tout simplement la vie « pas tout à fait ordinaire » de cette jeune adolescente qui, au fil de son voyage, ne sait plus si elle est afghane ou Parisienne. Elle a deux coutumes, deux manières de vivre, de familles qu'elle aime énormément. Mais également des choses qu'elle n'aime pas dans les deux pays, comme le chat de sa famille à Paris, ou le fait d'être toujours seule, et en Afghanistan, Yalda n'aime pas les hommes et leurs manières, comment les femmes doivent se conduire, les guerres et les attentats...
Bref, grâce à se livre-j'i appris à connaître les coutumes des Afghans, comme comment se passe un mariage, et comment son placé les hommes et les femmes dans la société.
Bon, ok, étant une féministe et complètement POUR l'égalité des femmes, j'ai parfois été plus que choquées et révoltées de voir comment les femmes étaient considéré dans ce pays. J'ai parfois eu envie de hurler sur ce roman et sur la passivité des femmes du pays, qui ne voit pas du tout le problème ! C'est aberrant mais bon.
J'ai également beaucoup apprécié les petits mots touchant et le regard de Yalda concernant la France. Elle a fini par aimer la liberté que propose ce pays. J'ai aimé quand elle parlait des « gays » ou des manières de manger, qui, en regardant bien, est marrant car on sait tous que les Français sont obnubilés par les régimes ; enfin plein de petites choses qui font sourire et qui font que nous adorons notre petite Yalda.
Je ne tiens pas spécialement à donner mon point de vue sur le thème du livre, mais c'est avec des romans comme celui-ci que j'aime mon pays, et que, malgré ses défauts, permets à tout un chacun d'être ce qu'il est, comme il est.
Je trouve que c'est un livre à lire, qui permettraient déjà de calmer les crises du moment qui se passe notamment concernant le racisme et les conflits d'idéaux. C'est un livre qui nous apprend des choses, qui nous apprend à nous regarder dans une glace et qui nous montre qu'être indulgent et la clé de la liberté et du bonheur.

x-cocinelle-laura-x, Posté le jeudi 16 novembre 2017 13:07
Il y a un livres que je connais qui parle un peu de la même histoire une jeunes filles qui s'est battu pour continuer a aller a l'école malgré l’interdiction par les talibans de scolariser les jeunes filles c'est "Moi Malala je lutte pour l'éducation et résiste au talibans " très beau livres qui se rapproche de celui -ci que je vais sans doute essayer de lire aussi