
Edition : Le livre de poche
Nombre de page : 443 pages
Paru en : 2011
Prix : 3.50 euros
Résumé : Rastignac est un jeune provincial qui cherche à s'insérer dans la société parisienne. Il lui manque les manières et l'argent. Pour parvenir, il côtoie les femmes du monde, mais reste attaché à son voisin de la pension Vauquer, le père Goriot, vieillard malheureux abandonné de ses filles. Vautrin, forçat évadé, Marsay, politicien ambitieux, et Rubempré, écrivain talentueux, sont animés du même désir de pouvoir. Ils apprennent, chacun à leur manière, les complicités et les alliances indispensables dans une société gouvernée par les intérêts. Seules figures du désintéressement : le père Goriot, vaincu par son amour paternel, et Mme de Beauséant, abandonnée du Tout-Paris.

Classique hors normes que j'ai pris plaisir à lire certes, mais où la concentration doit être intense et l'esprit fin, ouvert au second degré et sens caché.
En effet, nous nous retrouvons dans le Paris du XIXè siècle, en compagnie de Monsieur Goriot, Eugène de Rastignac dans la demeure de Madame Vauquer, qui est en quelque sorte une pension.
Concernant l'aspect parisien, j'ai beaucoup aimé me balader dans ma capitale durant cette lecture, quoique je n'aime pas particulièrement Paris, j'aime beaucoup entendre (ou plutôt devrais-je dire lire) les noms des rues, les jolis endroits etc.
Néanmoins, à propos des personnages, ceux-ci sont quasiment tous détestables, ils affichent nettement une société égoïste ou l'argent attise toutes les convoitises et rend les gens mauvais. Cet aspect ne m'a pas plu car je déteste, même dans la vie d'aujourd'hui les gens de cette espèce-là.
Malgré tout, quelques personnages sont restés accroché à mon c½ur, notamment Monsieur Goriot, qui est certes possessif et trop proche de ses filles, qui les aime d'un amour hors du commun, qui ne vit que par elles et qui d'ailleurs finira par causer sa perte. J'ai pris cet aspect du roman comme une leçon de vie. Ne jamais trop s'attacher aux gens qui ne vous veule que du mal ou qui ne vous connaisse que par intérêt. Pauvre homme trop naïf, il aura été vachement tourmenté.
En effet ses filles sont exécrables, elles ne pensent qu'au luxe, elles sont capricieuses. Eugène de Rastignac est humain, humble et sincère, c'est d'ailleurs le seul à être resté avec Père Goriot jusqu'à la fin de sa vie, et même après.
À propos de mon édition de livres, j'ai beaucoup apprécié les aides en fin de page, qui a parfois été utile pour la compréhension de certains passages. Il s'agit d'un classique, certes synonyme de lourdeur, car cela reste du Balzac, avec beaucoup de description parfois superficielle et d'autre essentiels.
Cette lecture n'est pas spécialement addictive, j'ai tout de même pris deux semaines à le lire, mais j'ai tout de même passé un moment agréable à descripteur l'esprit des personnages que l'auteur nous présente.
Mis à part ça, je me rends bien compte de mon manque de connaissances sur certains points. Une aide scolaire n'aurait pas été de refus afin de discerner les sens cachés et le second degré de l'oeuvre.
J'ai été déçu du manque d'humour, qui aurait peut-être donné une ambiance plus saine au roman, mais après tout, l'auteur voulait montrer le mauvais Paris de son époque, ce roman est sans doute une critique de sa société (que dis-je j'en suis même sûr).
En bref, ½uvre classique qu'il faudrait lire, mais où la patience et la concentration doivent être vos amis durant cette lecture.J'ai aimé cette lecture mais pas au point d'en avoir un coup de coeur et de réitérer une possible relecture
Nombre de page : 443 pages
Paru en : 2011
Prix : 3.50 euros
Résumé : Rastignac est un jeune provincial qui cherche à s'insérer dans la société parisienne. Il lui manque les manières et l'argent. Pour parvenir, il côtoie les femmes du monde, mais reste attaché à son voisin de la pension Vauquer, le père Goriot, vieillard malheureux abandonné de ses filles. Vautrin, forçat évadé, Marsay, politicien ambitieux, et Rubempré, écrivain talentueux, sont animés du même désir de pouvoir. Ils apprennent, chacun à leur manière, les complicités et les alliances indispensables dans une société gouvernée par les intérêts. Seules figures du désintéressement : le père Goriot, vaincu par son amour paternel, et Mme de Beauséant, abandonnée du Tout-Paris.

Classique hors normes que j'ai pris plaisir à lire certes, mais où la concentration doit être intense et l'esprit fin, ouvert au second degré et sens caché.
En effet, nous nous retrouvons dans le Paris du XIXè siècle, en compagnie de Monsieur Goriot, Eugène de Rastignac dans la demeure de Madame Vauquer, qui est en quelque sorte une pension.
Concernant l'aspect parisien, j'ai beaucoup aimé me balader dans ma capitale durant cette lecture, quoique je n'aime pas particulièrement Paris, j'aime beaucoup entendre (ou plutôt devrais-je dire lire) les noms des rues, les jolis endroits etc.
Néanmoins, à propos des personnages, ceux-ci sont quasiment tous détestables, ils affichent nettement une société égoïste ou l'argent attise toutes les convoitises et rend les gens mauvais. Cet aspect ne m'a pas plu car je déteste, même dans la vie d'aujourd'hui les gens de cette espèce-là.
Malgré tout, quelques personnages sont restés accroché à mon c½ur, notamment Monsieur Goriot, qui est certes possessif et trop proche de ses filles, qui les aime d'un amour hors du commun, qui ne vit que par elles et qui d'ailleurs finira par causer sa perte. J'ai pris cet aspect du roman comme une leçon de vie. Ne jamais trop s'attacher aux gens qui ne vous veule que du mal ou qui ne vous connaisse que par intérêt. Pauvre homme trop naïf, il aura été vachement tourmenté.
En effet ses filles sont exécrables, elles ne pensent qu'au luxe, elles sont capricieuses. Eugène de Rastignac est humain, humble et sincère, c'est d'ailleurs le seul à être resté avec Père Goriot jusqu'à la fin de sa vie, et même après.
À propos de mon édition de livres, j'ai beaucoup apprécié les aides en fin de page, qui a parfois été utile pour la compréhension de certains passages. Il s'agit d'un classique, certes synonyme de lourdeur, car cela reste du Balzac, avec beaucoup de description parfois superficielle et d'autre essentiels.
Cette lecture n'est pas spécialement addictive, j'ai tout de même pris deux semaines à le lire, mais j'ai tout de même passé un moment agréable à descripteur l'esprit des personnages que l'auteur nous présente.
Mis à part ça, je me rends bien compte de mon manque de connaissances sur certains points. Une aide scolaire n'aurait pas été de refus afin de discerner les sens cachés et le second degré de l'oeuvre.
J'ai été déçu du manque d'humour, qui aurait peut-être donné une ambiance plus saine au roman, mais après tout, l'auteur voulait montrer le mauvais Paris de son époque, ce roman est sans doute une critique de sa société (que dis-je j'en suis même sûr).
En bref, ½uvre classique qu'il faudrait lire, mais où la patience et la concentration doivent être vos amis durant cette lecture.J'ai aimé cette lecture mais pas au point d'en avoir un coup de coeur et de réitérer une possible relecture

Lecture commune avec DreamOf-Hapiness
Wonder-Word, Posté le lundi 29 septembre 2014 13:08
Newsletter !
Hey ! on commence cette semaine avec deux nouveautés :
Tout d'abord mon In My MailBox du mois de septembre : http://wonder-word.skyrock.com/3225875777-In-My-Mailbox.html
Ainsi que ma chronique du jour : http://wonder-word.skyrock.com/3230389181-Contes-des-Royaumes-Beaute-Pinborough.html
En fin de semaine je vous proposerais une suite d'adaptation ainsi qu'un article de fin de saga.
Bonne semaine a tous,
travailler bien :)
A bientot :3