
Titre VO : The Grapes of Wrath
Edition : Folio
Nombre de page : 640 pages
Paru en : 1972
Prix : 9.40 euros
Résumé : Le livre raconte les vicissitudes d'une famille de paysans, les Joad, qui, ruinée par les tempêtes de poussière (Dust Bowl), par
l'appauvrissement du sol et par la crise des années 1930, est contrainte de quitter l'Oklahoma et de venir chercher du travail en Californie. Peu à peu, affamés, traqués, exploités par les grands propriétaires, les émigrants voient la terre promise californienne se transformer en un vaste pénitencier. Mais on pourra constater tout au long du livre, que l'espoir n'a jamais abandonné cette famille.

En effet, nous allons suivre la famille de Tom Joad, qui, suite à des problèmes de grande envergure, se voit, sa famille et toutes celles de l'Est des États-Unis, dans l'obligation de migrer dans l'Ouest, en Californie. Ils se retrouvent tous rejeter de leur pays, de leur lieu d'habitation, là où tous leurs souvenirs sont, ou leurs terres leur sont pillers, prises, leurs maisons détruites par des tracteurs.
Je porte un éloge pur et dur pour John Steinbeck, le seul auteur que je connais, à avoir su mener à bien un livre avec quasiment rien. Car pardonnez-moi mais réussir un chef-d'œuvre, ayant reçu un prix Nobel, avec juste une histoire de famille que l'on va suivre pendant leur migration, avec aucune histoire fantastique, aucun mystère, rien d'autre que leur mésaventure, leur dur périple afin d'arriver à l'autre bout du pays avec quelques sous en poche, c'est un exploit à mes yeux, et c'est ainsi que je reconnais les auteurs à talent.
Nous allons rencontrer des familles par centaines, des gens, qui sont bons, comme mauvais, nous allons rencontrer différentes générations, qui, je l'avoue, même à travers un livre, m'a appris ce qu'étais la vie et que, malgré mon âge, j'ai encore beaucoup à apprendre. À travers ces lignes, on voit l'entraide entre les gens, mais aussi ceux qui ne pensent qu'à eux, ceux qui doivent survivre mais qui restent bons, et ceux qui, décourager, laisse tout tomber.
J'ai beaucoup aimé la famille de Tom, car tous ont une personnalité différente. Sa mère a un caractère d'homme qui m'a plu dès le début, elle n'est pas une femme qui se laisse faire, ses « disputes » avec son mari, m'ont bien fait rire. Dommage que nous n'entendions pas beaucoup parler les plus jeunes enfants. J'ai aussi été triste pour les chiens (ceux laisser sur place et celui à qui il lui est arrivé malheur... amoureuse des animaux bonjour!)
C'est toute une époque que Steinbeck nous à retracer, avec ses générations, ses drames et ses joies, ses difficultés et ses maladresses. Je lance mon chapeau à cet auteur de folie qui ma transporter dans une époque dur et qui m'ont fait aimer ses gens, ses personnages fictifs qui auraient pu, au final être des amis, des frères, des voisins.
Malgré l'écriture laborieuse par moments, cette lecture classique est une bouffée d'air fraîche que j'ai picorée avec délice.
Ce livre donne espoir, chaque personne garde un espoir d'une vie meilleure. Cet ouvrage a un eu un effet retentissant à l'époque, car il racontait des choses horribles que l'état et le gouvernement ne toléraient pas. En même temps, il faut lire la bestialité du système qui y est décrit pour comprendre l'ampleur des dégâts des années 1930. Les pauvres paysans n'étaient, aux yeux du gouvernement, que des animaux à traire, traire leur force, leur espoir, leurs volontés afin qu'il n'y reste plus rien.
C'est un livre qui doit être lu, pour la connaissance mais aussi pour se souvenir de ceux qui ont subi l'exode, la manipulation, la faim, le malheur, l'oublie....

la-citadelle-des-livres, Posté le vendredi 28 août 2015 12:54
Coucou =)
En gros Les fausses bonnes questions, ce sont des policiers. Lemony est un garçon travaillant dans une agence, il a un passé mystérieux, et avec son mentor, ils se rendent dans une ville pour mener des enquêtes. Il va faire la rencontre de Hangfire son ennemi numéro 1, il y a une histoire avec sa famille. Les deux tomes ont un fil rouge, le méchant, tout en ayant des enquêtes différentes. C'est rare de trouver du policier jeunesse, j'adore.